vendredi 27 juillet 2012

Culture générale : L’information inutile du vendredi : Oui, je suis nord-américain !

Culture générale : L’information inutile du vendredi : Oui, je suis nord-américain !

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L’information inutile du vendredi : Oui, je suis nord-américain !

Posted: 26 Jul 2012 02:50 PM PDT

Allez, il fait beau, il fait chaud, les gens se dénudent sur les plages, alors je vais verser un peu dans le people.

Ils/elles sont beaux/belles, ils/elles chantent bien, maitrisent leur instrument (ahem), jouent très bien la comédie et sont « glamour ». Et en plus, ils parlent anglais alors forcément, ils sont américains.

Et bien non. Tout ce qui parle anglais n’est pas forcément américain. Anglais à fortiori. Mais je laisse tomber ici les Grands-Bretons pour des révélations qui, j’en suis sûr, feront de vous des êtres nouveaux et indéniablement érudits. Vous pensez comme un grand nombre de gens que beaucoup d’artistes sont  américains de part leur patronyme. Ok. Mais que faites-vous des canadiens ? Je vous l’accorde, le Canada n’a que pour frontière terrestre les Etats-Unis. Mais n’allez surtout pas dire a un canadien qu’il est américain (et vice versa) car ces deux nations ne se considèrent pas plus que ça depuis très longtemps (je dirais même que l’entente n’est pas du tout cordiale). Et puis en terme de langage, le Québec fait encore de la résistance (go, go, go, go !)

Bref, j’en viens à ma liste de people que (presque) tout le monde croit « états-unienne » alors qu’elle est canadienne pur-jus (de cranberries). Bien évidemment, cette liste n’est pas exhaustive et n’en a pas la vocation. Enjoy :

Chanteurs/Musiciens/Compositeurs/Auteurs/Interprètes

Acteurs

Réalisateurs

 

Allez, je vous laisse, seul(e)s sur le sable, les yeux dans l’eau…


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mercredi 18 juillet 2012

Culture générale : A l’eau j’égoutte !

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A l’eau j’égoutte !

Posted: 18 Jul 2012 09:38 AM PDT

Aujourd’hui, on truffe nos smartphones d’applications (plus ou moins) utiles. On surfe sur internet avec ceux-ci, on discute, on échange, on  « géolocalise »… On en oublierait presque que la fonction première de ces appareils est de … Téléphoner. Et passer un coup de fil avec ces bijoux de technologie est d’une simplicité enfantine. On recherche un contact dans le répertoire et on appuie sur un bouton. Mieux encore, on prononce le nom du contact et la communication va s’établir.

Bien loin du temps où il fallait passer par une tierce personne pour joindre un correspondant. Tierce personne qui était obligatoirement une femme. Et pas n’importe quelle femme, attention, ça ne rigolait pas.

Dès 1890, les opératrices qu’on surnommera les Demoiselles du téléphone sont recrutées sur concours. Pourtant juste chargées de mettre en relation les abonnés du téléphone, les critères de recrutement ne faisaient pas dans la dentelle :

Il fallait qu’elles soient âgées au minimum de 18 ans et maximum 25, bien éduquées, justifiant de moeurs exemplaires (des bonnes soeurs quoi) parce que bon, hein, vous représentiez l’administration française mesdemoiselles ! L’écoute des appels était strictement interdite et durement sanctionnée. La confidentialité dont elles devaient faire preuve les contraignait à ne pas épouser un homme qui, de par ses fonctions, pouvait se servir des informations entendues par sa jeune épouse sur son lieu de travail. Exit donc les parties de jambes en l’air avec un policier ou un homme politique et  bye-bye les nuits torrides avec les commerçants (oui, le commerçant cancane beaucoup).

Le choix de la gent féminine pour ce travail (attention mesdames) s’expliquait à l’époque par le fait que l’activité ne requérait pas de qualifications intellectuelles notoires (je vous avais prévenu). Ce travail n’était même pas considéré comme pénible, pensez vous : 11h d’affilé de taf, 2400 appels quotidiens avec des pics de 6 communications à gérer par minute. Et le casque qu’elles avaient sur la tête tenait plus, au niveau du poids, du casque lourd que des oreillettes dernier cri. Ce casque était d’ailleurs muni d’un contrepoids qui pendait dans le dos de la demoiselle pour qu’elle garde l’équilibre de sa colonne vertébrale.

Leurs voix résonneront dans les combinés jusqu’à la fin des années 1970, ère où l’automatisation du téléphone devint la norme sur notre territoire.

Pour lire un autre article, dites « suivant ».


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dimanche 8 juillet 2012

Culture générale : De la suite dans les idées

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De la suite dans les idées

Posted: 07 Jul 2012 12:16 PM PDT

Quel est le l’instrument culinaire qui complète logiquement cette liste ?

CRAWL
INSECTICIDE
ALLIGATOR
POUDRIER
MOUSTIQUAIRE


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vendredi 6 juillet 2012

Culture générale : L’information inutile du vendredi : C’est moi ou ça sent le cochon grillé ?

Culture générale : L’information inutile du vendredi : C’est moi ou ça sent le cochon grillé ?

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L’information inutile du vendredi : C’est moi ou ça sent le cochon grillé ?

Posted: 05 Jul 2012 02:59 PM PDT

Il s’appelait Roy Sullivan et la vie l’a très vite mis au jus. Né en 1912, il commence à l’âge adulte une carrière de garde forestier dans sa Virginie (U.S.A.) natale. Et c’est au coeur de la forêt dans un promontoire de surveillance que le ciel lui adresse son premier signe d’affection en 1942. La foudre le frappe à la jambe. Il perd juste un gros orteil. Le dicton dit que la foudre ne frappe jamais deux fois au même endroit. Sullivan aura aisément démontré le contraire.

Après 27 ans de répit, le garde forestier voit les 14 dernières années de sa vie perturbées par le ciel :

En 1969, il est sur une route de montagne dans son camion. Un orage éclate. Il se dit qu’il est tranquille, son véhicule fera office de cage de Faraday. Mais son  engin ne devait manifestement pas répondre aux critères requis car il se mange un éclair (et pas au café). Sonné, il en sera pour des sourcils calcinés.

En 1970, alors qu’il est dans sa cour et se presse de rentrer chez lui pour éviter la pluie, la foudre vient le chatouiller in-extremis. Verdict : Des tonnes de Biafine (trède marc) à se tartiner sur l’épaule gauche.

En 1972, toujours sur son lieu de travail, la forêt donc, le ciel le gratifie à nouveau d’une décharge qui déclenchera un incendie capillaire. Dès lors il prend la décision d’avoir toujours un bidon d’eau à sa portée.

Août 1973, dans son nouveau van, un gros nuage bien noir semble le suivre. Cela dure un moment et Roy serre les fesses. Mais au bout de quelques kilomètres le ciel se dégage. L’homme s’arrête alors et sort de son 4-roues pour prendre l’air, heureux d’y avoir échappé cette fois. Et là, paf ! Dans les dents ! Sa chevelure est encore une fois en feu mais il parvient à régler le problème avec un jerrican d’eau qu’il avait dans le coffre de sa camionnette. De graves brûlures viendront émailler ses jambes et son bras gauche.

En juin 1974, il se détend en faisant du camping. Alors qu’il monte sa tente (non ce n’était pas un neveu incestueux), un orage soudain se déclare et c’est sa cheville droite qui en fera les frais.

Juin 1977. L’homme décide d’aller taquiner le brochet. Il décapote (son van), sort sa gaule et laisse flotter son bouchon dans un paisible lac de Virginie. Il s’endort presque quand un vent fort et inattendu le tire de sa torpeur. Pas le temps de réagir, la foudre se rappelle encore à lui. Il est sévèrement touché au à l’abdomen et à la poitrine mais s’en sort vivant.

Le rapidement surnommé Paratonnerre de Virginie déclara un jour : « On a l’impression d’être cuit de l’intérieur ».

Le pauvre Roy, en ce début année 1983 tombe extrêmement amoureux d’une jeune femme qui ne lui retourne pas ses faveurs. Econduit, il se fait sauter le caisson en septembre de la  même année. Après avoir résisté 7 fois à  ces énormes décharges électriques, on peut dire qu’il est paradoxalement  mort d’un coup de foudre non réciproque.

Et puisque c’est la saison, faites gaffe aux orages. Vous ne pourrez pas dire que je ne vous aurais pas mis au courant. ;-)


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