vendredi 29 novembre 2013

Culture générale : La petite info du vendredi : Jeux interdits

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La petite info du vendredi : Jeux interdits

Posted: 29 Nov 2013 12:18 AM PST

02Guitariste depuis… 28 ans (vache, ça veut dire que j’ai plus de 28 ans !), je ne me suis posé cette question que tout récemment : Pourquoi dit-on guitare sèche pour désigner une guitare folk ou classique ?

Cette expression serait arrivée avec la démocratisation des guitares électriques dans les années 1950. Electriques car nécessitant un amplificateur branché sur le courant. Et donc la guitare est sèche car elle se suffit à elle-même et n’a pas besoin de périphérique (l’ampli).

Et  plus tard arriveront les guitares électro-acoustiques, mais là, c’est une autre histoire… Allez, je retourne me jouer un bon petit Jumpin’ Jack Flash des familles moi !


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vendredi 22 novembre 2013

Culture générale : L’Information inutile du vendredi : Sue Ellen Style

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L’Information inutile du vendredi : Sue Ellen Style

Posted: 22 Nov 2013 05:01 AM PST

1Alors, vous l’avez gouté ce Beaujolais Nouveau hier (ou pas) ? Quel goût ? Banane, vanille, cornichon, pâté ? Bon, personnellement, je suis plus Touraine Primeur, mais cette remarque reste légèrement emprunte de chauvinisme. Donc, il avait quel goût ? Vous ne savez plus ? C’est vrai qu’à force de le (re)goûter, au bout d’un moment, le goût n’a plus d’importance.

Vous vous êtes donc retrouvé avec de l’alcool dans le sang, mais à quel degré ? Autrement dit, quel était votre taux d’alcool dans le sang ou votre alcoolémie ? Car mes petit(e)s ami(e)s, la locution taux d’alcoolémie utilisée à outrance est tout simplement impropre, c’est un pléonasme.

Quel que fut votre état hier soir, j’espère juste que vous avez utilisé les transports en commun ou les services d’un ami sobre pour rentrer. Prenez soin de vous !


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mardi 5 novembre 2013

Culture générale : Pour un pavé t’as plus rien !

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Pour un pavé t’as plus rien !

Posted: 05 Nov 2013 07:12 AM PST

livreNBCa y est, c’est l’époque du grand raout journalistique et intellectuel de l’année : La remise des prix littéraires.

Pourtant, les manifestations pourraient être largement plus nombreuses puisqu’on dénombre plus de 1000 prix littéraires francophones. Mais, souvent seuls 6 d’entre eux ont la faveur des médias. Et surtout, les auteurs ne doivent pas compter sur les récompenses et dotations offertes pour payer leurs vacances en camping 2 étoiles, demi-pension  (hors périodes scolaires d’octobre à février) à Bray-Dunes. En fait, les récompenses pécuniaires sont plus que modestes, voire inexistantes.

  • Le prix Décembre est l’un des plus généreux et offre 30 000 € au lauréat, ce qui n’est pas rien vous en conviendrez.
  • L’Académie française décerne pas moins de 70 prix, mais le plus fameux reste le Grand Prix du Roman de l’Académie française. Les immortels octroient au désigné vainqueur la somme de 7500 €.
  • Dans sa grande générosité, le prix Médicis se fend de 686 €. C’est peu. Et surtout, pourquoi 686 € ? Parce que avant l’arrivée de l’€uro, la dotation était de 4500 francs, soit 686 €. Même pas foutus d’arrondir à 700 € ces rapiats !
  • Enfin, le  célèbre Goncourt remet un chèque de 10 € au lauréat, même pas de quoi acheter son propre bouquin. En fait ce chèque est purement symbolique mais promet de belles ventes. Un Goncourt, c’est l’habillage du livre avec le célèbre bandeau rouge et l’assurance d’écouler au minimum 400 000 ventes (sans compter les traductions).
  • Les prix Renaudot, Femina et Interallié, purement honorifiques, sont eux aussi gages de ventes et notoriété. Les exemplaires écoulés sont de l’ordre (et respectivement) de 220 000, 155 000 et 100 000 pour ces prix, soit 6 ou 7 fois plus que si l’ouvrage avait été publié sans la reconnaissance de ces institutions.

Le vrai jackpot n’est donc pas dans les dotations mais dans la publicité faite par ces prix. Et ceux qui s’en mettent vraiment plein les fouilles ne sont pas les auteurs, mais encore plus les éditeurs…

Attendez-que ça sorte en poche, ça vous fera moins mal au porte-monnaie !


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