Culture générale : Do you toss the caber ? |
Posted: 05 Oct 2011 03:00 AM PDT Le titre de cet article est volontairement en anglais pour attirer les gens, et maintenant que vous êtes lancés, sachez que « Toss the caber » correspond à un sport écossais méconnu, le lancer de tronc. Chaque année, entre les kilts et les cornemuses, se déroulent en Écosse les Highland Games, au cours desquelles il est possible d’assister à diverses épreuves. La liste est sur Wikipédia, c’est de l’humour britannique à l’état pur. Créé d’abord comme une épreuve de sélection pour les serviteurs du roi, les Highland Games sont devenus une sorte de JO écossais et le lancer de tronc s’est finalement imposé comme l’épreuve reine de ces jeux (sans blague…). Mais contrairement à ce qu’on pourrait croire, le but n’est pas de lancer le tronc le plus loin, trop simple pour nos amis écossais, mais de faire faire au tronc un « saut périlleux », de sorte qu’il se remette droit quand on le lance. J’ai bien conscience que ce n’est pas très clair, aussi je vous invite à aller voir cette vidéo, pour que vous compreniez toute la subtilité de ce sport. http://www.youtube.com/watch?v=-UNUeUc0ep4 Histoire de se ramener à quelque chose que l’on connait un peu mieux, ça ressemble au saut à la perche : Il y a différents modèles de troncs, plus ou moins long et lourd. Mais c’est la perche qui saute à la place de l’homme. Pour finir, je citerai ce grand philospohe qu’est Gad Elmaleh : »Je comprends pas pourquoi ils ont pas gardé le sport où tu tiens deux ampoules, et où tu sautes à pieds joints ! « .
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Posted: 05 Oct 2011 02:36 AM PDT Vous avez forcément déjà croisé un hôtel se nommant Le Lion d’or ou sinon vous habitez le Waziristân du Sud depuis votre naissance. La moindre commune de 20 000 habitants possède son (souvent grand) Hôtel du Lion d’or. Alors pourquoi tant d’hôtels arborent ce nom sur leurs frontons ? Dans les temps anciens, les cavaliers avaient coutume de se reposer dans des auberges. Mais ces auberges, si elles proposaient assurément le couvert, n’offraient pas systématiquement un lit aux voyageurs. Ces derniers étaient alors contraints de dormir sur le sol, non loin de leurs montures. Les établissements qui mettaient des lits à disposition, voulurent alors se démarquer et installèrent des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Au lit, on dort« . Le temps et le langage faisant leur oeuvre, beaucoup de ces auberges devinrent des hôtels et on passa dès lors la nuit au Lion d’or. Et je ne sais pas pourquoi les Sofitels s’appellent ainsi
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